INTERVIEW DE CECILE ETEL

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INTERVIEW DE CECILE ETEL

LiberEdition
Publié dans Presse et médias · 21 Février 2022

Pourriez-vous nous raconter comment vous avez commencé à écrire ?

J'ai commencé par écrire des ouvrages pratiques, j'ai trouvé cela intéressant, mais cela ne fait pas appel à l'imagination. Petit à petit, j'ai alors commencé à ressentir l'envie d'écrire des histoires et je me suis lancée dans l'écriture d'un manuscrit pour adulte. Toutefois l'écriture d'un roman prend énormément de temps, j'en ai commencé un, mais il est loin d'être terminé.


Que lisiez-vous quand vous étiez enfant et adolescent(e) ?

Petite je lisais beaucoup, un peu de tout. Les livres d'aventures, de mystère avaient ma préférence. J'aimais bien aussi les bandes dessinées.


Quel livre avez-vous le plus aimé lorsque vous étiez petite ?

Il y en a plusieurs, mais je me souviens que j'adorais "Les malheurs de Sophie" de la Comtesse de Ségur, je l'ai relu de nombreuses fois. Plus tard, à l'adolescence, je me suis plongée dans les livres de Stephen King, le meilleur pour moi dans le domaine du fantastique.


Avant la publication de votre livre, connaissiez-vous d’autres écrivains, des journalistes, des éditeurs ?

J'ai choisi d'auto-éditer mon premier ouvrage pratique, j'ai pu ainsi être en contact avec des écrivains, notamment avec ceux qui participaient au forum du site d'auto-édition, j'ai appris ainsi beaucoup de choses sur l'édition.


Pour l'édition de votre premier livre jeunesse, vous avez choisi de le faire éditer par une maison d'édition, pourquoi ne pas l'avoir auto-édité ?

L'auto-édition est une solution pour être édité, mais ce n'est pas la meilleure, les auteurs auto-édités souffrent d'une mauvaise image, car souvent leurs livres comportent des lacunes, notamment avec l'orthographe et c'est un gros problème, car c'est difficile de faire soi-même ses corrections sans avoir un regard extérieur. Les libraires ne sont pas très chauds pour leur ouvrir les portes de leur librairie, c'est difficile d'organiser des séances de dédicace et de participer à des salons, certains salons refusent carrément les auto-édités. Une maison d'édition nous accompagne avant l'édition de notre livre et après, c'est un gage de sérieux pour les professionnels du livre.


En définitive, votre premier livre littéraire est un livre jeunesse, pourquoi avoir fait éditer ce livre en premier ?

Comme je le disais précédemment, un roman pour adultes prend beaucoup de temps à écrire, je n'arrive pas à écrire de façon régulière, du coup j'ai d'autres idées qui me viennent et c'est comme ça que j'ai commencé a écrire "Un papillon en hiver", je l'ai écrit assez rapidement, de ce fait, il a été prêt avant le roman.


Pouvez-vous nous en parler un peu ? Et pourquoi ce titre ?

C'est l'histoire d'une petite fille et de son cousin qui se retrouvent à la montagne lors moment des vacances. Le petit garçon a reçu en cadeau un magnifique cerf-volant en forme de papillon et tous deux vont aller jouer avec dans le jardin, mais malheureusement le cerf-volant va s'échapper et s'envoler en direction de la forêt, les deux enfants vont essayer d'aller le récupérer, malgré l'interdiction qu'ils avaient de sortir du jardin. Une fois rendus en forêt, les choses ne vont pas bien se passer et ils vont se perdre... je n'en dis pas plus, mais ils vont faire une sacrée découverte. Vous avez ainsi l'explication du titre du livre.


Pensez-vous écrire d'autres livres jeunesse ?

J'y pense, j'ai pris énormément de plaisir à écrire "Un papillon en hiver" et il n'est pas impossible que j'écrive une suite à cette petite histoire.


Avec ce livre, on sent l'influence du livre "Les malheurs de Sophie"

Rires... c'est vrai qu'il y a une similitude de genre, on pourrait presque dire que ce sont les malheurs des cousins, comme Sophie et ses cousines.




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